Mairie d'Aries-Espénan
Bienvenue sur ces pages !
Enfin, après une première initiative inaboutie il y a 10 ans, le Mini site de Ariès-Espenan est enfin opérationnel. L’objectif est de faire circuler l'information au niveau communal le plus rapidement possible en ciblant une majorité d'habitants connectés. Ce support complète, en privilégiant l’instantanéité, le bulletin que vous continuerez à recevoir , pour l’instant, 2 fois par an. Si ces deux outils font redondance, nous pourrions être amenés à ne maintenir qu’un bulletin annuel pour conserver une version papier pour ceux de nos habitants qui préfèreraient le papier au numérique. Ce site apportera toutes sortes d'informations sur la commune, de près ou d’un plus plus loin, et sera alimenté au fur et à mesure des actualités et de vos suggestions : vous pourrez ainsi faire vos remarques par un formulaire de contact sur le site. Il pourra donc faire l’objet d’évolutions en fonction de nos besoins et de vos souhaits. Vous trouverez peut-être le contenu encore léger : nous préférons démarrer et compléter, plutôt que d'attendre qu'il soit plus riche. Merci aussi de nous notifier toute erreur que vous constateriez. Merci d'excuser les malencontreuses fautes d'orthographes qui seront corrigées. En attendant ces évolutions, bonne circulation sur nos pages et bonne lecture ! Isabelle Gandit
Présentation Petit village niché au nord-est des Hautes-Pyrénées à la mite des départements du Gers et de la Haute-Garonne, en Occitanie, Aries-Espenan, offre un paysage verdoyant et fleuri au bord du Gers et près des vallons forestiers permettant de jolies promenades ombragées et des panoramas imprenables sur les montagnes et le pic du Midi. Aries-Espénan est une commune rurale qui compte 93 habitants en 2023, après avoir connu une population de 63 habitants en 1990 et un pic de population de 370 habitants en 1856 (il s’agissait alors de la population des deux communes qui ont ensuite été réunies en 1858 sous Napoléon III sous le nom d’Ariès, jusqu’à ce que dans les années 20 on lui réattribue le nom auquel les villageois étaient attachés. Au plan historique et culturel, la commune est dans la région gasconne du Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, et faisait partie des 4 Vallées « Magnoac, Vallée d’Aure, vallée des Neste et Barousse . Les Etats Généraux des 4 vallées se réunissaient à Castelnau ou à Monléon-Magnoac où l’on peut voir encore le siège presqu'en face de l'instution ND de Garaison, en allant vers le cimetière, dans un manoir du XVème siècle toujours debout. La rivière Gers traverse la commune du sud au nord à l'ouest du village. C’est une des rivières issues en éventail du plateau de Lannemezan qui permet de réalimenter les rivière de Gascogne, en complément du réseau d’irrigation, canaux et rigoles, issues du Canal de la Neste aménagé sous Napoléon III et les lacs du secteur. En effet, sans cet apport d’eau issu des réserves des Pyrénées, ces rivières seraient asséchées en été, ce qui causerait des problèmes de salubrité et d’alimentation en eau potable. Le ruisseau de Jouau, affluent de rive gauche du Gers, traverse la commune en partie sud-ouest de la commune. Le ruisseau de Cier et le ruisseau d'Arroubin, affluents de rive droite du Gers, traversent la commune d'est en ouest. Un canal traverse aussi le village, le canal des moulins, provenant et se jetant dans le Gers. Il est aujourd’hui presque entièrement remblayé sauf au droit des moulins qu’il desservait. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique Il ne s’agit pas d’une ZNIEFF spécifique mais d’une toute petite partie, au sud d’une « langue » de 13 hectares rejoignant Auch, de la ZNIEFF des Coteaux du Gers. (cf fiche en PJ). Exposée à un climat océanique altéré, elle connait une température moyenne de 12.7° (2.2 jours à moins de 5° et 6.5 Jours à plus de 30). La neige est rare mais elle nous rend visite de temps en temps pour la plus grande joie des enfants, une moyenne de 10 jours de pluie en janvier et de 6 en juillet (notamment des orages). Au centre du village, l’altitude est de 262 m ; les collines boisées culminent à 405 m. C’est un village essentiellement agricole : 75,7 % de terres agricoles La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,3 %), forêts (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), prairies (16,5 %). Le reste pour 24.3% est constitué des routes, des chemins, du sol et environnements des habitations et bâtiments publics. Il s’agit d’une agriculture de polyculture-élevage avec principalement des céréales et notamment du Maïs irrigué et une grande partie des terres reconverties en agriculture Bio. Il s’agit bien d’une commune rurale et même agricole sans grand bouleversement dans le volume des terres cultivées mais, avec comme partout ailleurs, des changements dans la structure des exploitations et la répartition des surfaces par agriculteur. Développement  Notre petit village a initié dans les années 80 une modeste politique touristique : la commune a rénové son ancien presbytère en y créant 2 gîtes ruraux (Gîtes de France). Un peu plus tard, elle a créé, dans le préau de l’ancienne école construite en 1882 et fermée en 1977, un nouveau gîte avec l’aide du Conseil d’Architecture d’Urbanisme et d’Environnement. A noter que cet organisme départemental conseillait la commune depuis plusieurs années (espaces publics et création de la fontaine notamment).  Cette initiative a créé un nouvel élan avec l’arrivée de visiteurs français et étrangers (particulièrement de Grande-Bretagne et d’Europe du Nord) recherchant le calme et l’authenticité de la campagne.  Bien qu’en « campagne profonde », nous étions « dignes d’intérêt » !.  Nos touristes cherchaient le lait, les volailles, les légumes frais et les œufs dans les fermes du village, développant des relations particulières. Ceci suscite un espoir de renouveau de la campagne et des projets privés se développent par des habitants préoccupés de valorisation du patrimoine, de préoccupations environnementales et désireux de créer une nouvelle activité économique. Ainsi Amédée Sabarros créé 2 gîtes dans la ferme de ses oncles et donne un terrain pour aménager le terrain de tennis. Marcelle et Maurice Féraut créent un Camping à la ferme naturiste sur leur propriété en partie au bord du Gers et dans la colline la surplombant. Enfin, Dorit et Hubert Weimer/Van der Weyden créent 5 chambres d’hôtes avec Table d’Hôtes dans un ancien moulin.  Aries-Espenan devient donc un petit village touristique ; le camping de 6 emplacements devient ANC de 25 emplacements puis camping 3 étoiles de 100 emplacements. 4 meublés touristiques « Clévacances » sont aménagés par la commune qui aménage une piscine au centre des locations touristiques, le camping a développé des activités nouvelles : canoë-kayak, tir à l’arc, poterie, restaurant, animations diverses… Ces activités ont contribué à modifier l’image de la commune. Aujourd’hui, la Mairie a limité l’hébergement saisonnier pour finalement privilégier l’accueil de population permanente, vu la demande et la proximité du chef-lieu de canton doté des principaux services.
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