La commune poursuit son projet de restauration de la chapelle d'Espenan : après la porte, la toiture, les enduits extérieurs, le plancher du cœur, les monuments funéraires et l'allée, il nous reste les enduits intérieurs, la reprise des concessions abandonnées, le portail et .... la restauration d'un ensemble mobilier singulier situé au chevet de l'église, rendant hommage au Saint patron de l'église, St Laurent. A noter que celui-ci est un saint, originaire de Huesca, très ancien puisqu'il est mort à 33 ans en 258 martyrisé et posé sur un grill pour qu'il ne soit consumé que peu à peu ; il était le premier des 7 diacres de l'église romaine et ayant dispensé généreusement des aumônes est aujourd'hui le saint patron des pauvres. il est aussi le saint patron des cuisiniers, des rôtisseurs, des charbonniers et des pompiers (aux côtés de Sainte Barbe). Le tabernacle et sa statuette sont du XVIIIème siècle, témoins de l'histoire de notre village et de la ferveur de ses paroissiens. Modestes mais cependant baroques, ils se sont dégradés tout doucement et nécessitent une restauration. Il ne s'agit pas d'une vision esthétique mais bien d'une vision sanitaire : le bois, infesté, se dégrade et le plâtre et la peinture sont très abimés. Si l'on n'y veille pas, qu'en restera-t-il dans quelques décennies : quelques photos et un souvenir pour quelques habitants ? des réparations de fortune (fil de fer, papier collant , ...) le font encore tenir debout et conserver (de loin) un peu de son lustre d'antan mais la statuette a perdu déjà l'arrière de son crâne et 2 des attributs qui le distinguent : un grill rectangulaire à ses pied et une palme, symbole du martyr dans sa main gauche. il est représenté vêtu d'une dalmatique car il était diacre et tenant dans sa main droite les évangiles. Conscient de ces désordres, la mairie a contacté le conservateur départemental des objets religieux qui a établi un cahier des charges pour la protection et la restauration de l'ensemble. Malheureusement, contrairement au Christ de l'Eglise d'Ariès, cet ensemble n'est ni classé ni inscrit et ne peut donc bénéficier de subvention de la Direction Régionale des Affaires Culturelles. La commune recherchera bien évidemment d'autres subventions et prendra sa part dans le financement de cette opération. Elle a souhaité toutefois s'attacher le concours de la Fondation du Patrimoine, tant pour ses conseils techniques et scientifiques que pour la recherche de fonds privés dans le cadre de l'organisation d'une collecte qui permette à chaque souscripteur souhaitant soutenir cette restauration de bénéficier d'un crédit d'impôt. Une première rencontre s'est tenue avec le Délégué Départemental. Un travail préalable sur l'histoire du mobilier et de l'église et sur le projet doit être conduit.

De l'ombre à la lumière, les femmes ont laissé une empreinte indélébile dans tous les domaines de la société. Leur courage, leur détermination et leur ingéniosité, à l’instar des hommes mais soumises aux préjugés et principes d’éducation de leur condition, ont ouvert la voie à de nouvelles générations et ont contribué à l'évolution des droits des femmes dans notre société. 1977, 1909, 1917, voire 1857. La première Journée internationale des droits des femmes a des origines un peu troubles et tout le monde ne s’accorde pas pour lui trouver une date précise. Officiellement, l’événement «8 mars» tel qu’on le connaît, orchestré par l’Organisation des Nations unies, remonte à 1977. L’ONU, lors de sa 2113e séance plénière du 18 décembre 1972, «proclame l’année 1975 «Année internationale de la femme», puis continue dans la foulée et, deux ans plus tard, «invite tous les Etats à proclamer, comme il conviendra en fonction de leurs traditions et coutumes historiques et nationales, un jour de l’année Journée des Nations unies pour les droits de la femme et la paix internationale». Voilà pour ce qui est de son histoire récente. Mais pourquoi le 8 mars ? A question simple, réponse passablement compliquée. Le premier événement qui peut lui être véritablement rattaché est la création de la Journée nationale de la femme le 28 février 1909 sur l’ensemble du territoire des Etats-Unis à l’appel du Parti socialiste d’Amérique, une journée qui sera célébrée chaque dernier dimanche de février jusqu’en 1913. On peut évoquer aussi la Russie avec une grande grève en temps de guerre, en 1917, au cours de laquelle les femmes russes ont réclamé "du pain et la paix". Quatre jours après le début de la grève, le tsar a été contraint d'abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. L'idée de rendre cette journée internationale est venue d'une femme appelée Clara Zetkin, militante communiste et défenseur des droits des femmes. Elle a suggéré cette idée en 1910 lors d'une conférence internationale des femmes travailleuses à Copenhague. Une centaine de femmes venues de 17 pays étaient présentes et ont approuvé sa suggestion à l'unanimité. Dans tous les domaines, nous pouvons rendre hommage à des femmes remarquables, pionnières dans leur domaine : icône du féminisme moderne, de la résistance, de la lutte contre les oppressions (esclavage, accès à l’éducation, excision, ..), de la création artistique, de la diversité et de la recherche. Sans hiérarchisation, un inventaire à la Prévert, subjectif et qui vise à rendre hommage à des Grandes Femmes, parfois complètement oubliées : des juristes, des artistes, des écrivains, des exploratrices, des aviatrices, des scientifiques, des résistantes, des photographes, … Des « découvreuses et des militantes » qui ont toutes ouvert des voies. Si certains noms vous sont inconnus, si vous êtes curieux, Internet vous aidera à en savoir plus ! Olympes de Gouges, Rosa Parks, Amilia Earhart, Georges Sand, Mère Theresa, Aliénor d’Aquitaine, Isidora Duncan, Camille Claudel, Anne Franck, Sojourner Truth, Marlène Dietrich, Coco Chanel, Catherine de Medicis, Anaïs Nin, Rosalind Francklin, Berthie Albrecht, Anne de Bretagne, Indira Gandhi, Gisèle Halimi, Toni Morisson, Jane Goodhall, Colette, Forence Nighthingale, Joséphine Baker, Madeleine Pelletier, Jane Airbus, Rachel Carson, Angéla Davis, Anne Franck, Margaret Sanger, Cléopâtre, Charlotte Salomon, Edith Cresson, Margaret Hamilton, Jeanne d'Arc, Alexandra David-Neel, Hélène Boucher, Marie Mavingt, Nellie Bly, Calamity Jane, Karin Switze, Ana Fischer, Ada Lovelace, Jaqueline Auriol, Elisabeth Vigée-Lebrun, Eléanor Roosevelt, Martina Navratilova, Frida Kalho, Alice Milliat, Claudie Haigneré, Marie Cassat, Louise Bourgeois, Isabella Bird, Anna Fischer, Emilie du Châtelet, Marguerite Yourcenar, Karin Schwitzer, Louise Bourgois, Lee Miller, Marie Curie, … Plus on remonte le temps, plus le destin de ces femmes est remarquable, car la société prévoyait alors leur place dans la famille N’oublions pas la multitude de femmes de l’ombre, portant la famille, la «maison», l’entreprise, luttant contre les préjugés, résistant aux violences conjugales et/ou sexuelles, œuvrant pour la justice et l’équité. Nous en connaissons tous ! Quelques illustrations : le logo de notre multitude, une aquarelle "des amies fraternelles affrontent la pluie et le vent", certes le parapluie est petit ! mais elles continuent d'avancer ! des femmes célèbres françaises, la venus de Lespugue juste à côté, la Liberté guidant le Peuple de Delacroix, la République nourrit ses enfants et les instruit de Daumier, Aliénor d'Aquitaine, Olympes de Gouges, Klara Zedkine, les suffragettes britanniquesen 1917 et les revndications des françaises.

En janvier le parking pour les camions de pompier a été réalisé mais un élément essentiel manque encore ! le compteur d'eau n'est toujours pas posé et la citerne donc toujours pas remplie ! Il faudra également que l'entreprise revienne pour rabaisser les "canes" qui sont trop hautes (il faut les descendre d'environ 50 cms) Nous aurons ensuite à veiller à notre prochaine inscription dans le programme des réserves incendie de la Communauté de Communes pour les quartiers d'Espenan et de la Bouscarre.

La Maison Francingues réaménagée en 1992 avec la création de 4 logements (au départ 4 studios et aujourd'hui 3 studios et 1 T3) a vieilli, même si des travaux réguliers ont été effectués. L'évolution des normes, de la réglementation thermique de 2012 à la rénovation environnementale de 2020, impose des critères plus stricts pour la construction mais aussi pour l'habitabilité des logements. Les principaux nouveaux objectifs sont les suivants : *construire des bâtiments "bas carbone" sur l'ensemble de leur cycle de vie : *améliorer d'avantage la performance énergétique des logements ; * assurer le confort des habitants pendant les fortes chaleurs, tout en réduisant au maximum les besoins en rafraîchissement. Pour notre bâtiment Francingues, suite à un audit énergétique, un bouquet de travaux est nécessaire : changements des doubles-vitrage actuels, changement des cumulus, pose de vmc, pose de pompe à chaleur, réfection de l'isolation des combles. Il faut aussi engager une isolation des façades par l'extérieur sur la partie ancienne du bâtiment (les murs de l'extension ayant été doublés). En effet, si les murs anciens, épais, présentent une belle inertie, il est demandé de les doubler pour une meilleurs efficacité énergétique. L'ensemble de ces travaux, évalués à 80 000 € (i s'agit d'un grand bâtiment avec beaucoup de fenêtres) pemettront d'atteindre une classe énergétique B ou C seront réalisés sur 2 exercices. Une subvention du Fonds Vert dédié à ce type de projet sera sollicitée en 2024.

Début novembre, un grand Rendez-vous  a eu lieu dans le Magnoac : inauguration de la Maison de l’Education à Castelnau et visite de la Maison du Magnoac rénovée à Cizos. Ces deux projets ont été portés par la Communauté de Communes du Pays de Trie et du Magnoac, avec le soutien financier de l’Etat, de la Région et du Département. Revenons tout d’abord sur une des fonctions du bâtiment de Cizos. Celui-ci, construit en 1986, par le Sivom du Magnoac, après le don par la commune de Sariac-Magnoac d’une structure en lamellé-collé provenant d’un appel à projet “Mille clubs” initié par l’Etat, intègre une salle de cinéma. Ce projet était plus qu’intercommunal : une charpente et l’isolant sous toiture donné par l’Etat, le projet transféré par Sariac, le terrain acheté à Cizos (la commune de Castelnau n’était alors pas adhérente du Sivom), l’architecte était de Betpouy, le siège était à la Mairie d’Aries-Espenan car le Sivom n’avait pas de locaux, les ouvriers de Vieuzos et Betpouy, les artisans du Magnoac et des Hautes-Pyrénées et, enfin, et pas la moindre action, le cinéma fonctionnait à Caubous depuis quelques années. C’était, en 1982, “la grande période” des essais de développement local et culturel dans le Magnoac. Cette volonté des acteurs locaux d’animation socio-culturelle rencontrait celle du Parvis, centre de développement Culturel de Tarbes, de relance du cinéma dans le département : il ne restait en effet que 6 cinémas en Hautes-Pyrénées (2 à Tarbes, 1 à Bagnères, Lannemezan, , Cauterets et St Lary). Leur projet en partenariat avec les collectivités locales ré-installait des cinémas à Lourdes, Vic, Argelès et dans le Magnoac (plus d’activité depuis la fermeture des années auparavant de la salle de cinéma au sous-sol de l’Hôtel Dupont en haute-ville). Pour le cinéma, la commune de Caubous prêtait sa salle des fêtes, le Sivom avait acheté des chaises coques, avait construit une cabine de projection (avec des planches et de la moquette !), le Parvis apportait,  à chaque séance, un projecteur et un écran mobiles et mettait à disposition le projectionniste. Des habitants de Caubous assuraient bénévolement l’accueil et la vente des billets. Après avoir décidé une séance  par semaine, le lundi, (1er film « L’été meurtrier») pour tester l’intérêt des habitants, il a vite été décidé une programmation plus fréquente pour ne pas manquer des films prévus susceptibles de plaire au public. Finalement, ayant besoin d’un siège administratif, bénéficiant du transfert de projet de Sariac et ayant rencontré un public cinéphile, le Sivom a décidé de construire la Maison du Magnoac avec une salle de cinéma. Le coût du projet à l’époque un peu plus 1 200 000 F financés à 70%. Achat d’un projecteur d’occasion au casino de Cauterets, recrutement d’une projectionniste (Marie-Pierre Albarel) et première projection et inauguration à l’automne 1988 du film de Bertolucci “le dernier empereur” en présence de la Marraine de notre cinéma, Hélène Vincent, lauréate en 1989 d’un César pour un second rôle dans le film “la vie est un long fleuve tranquille” sorti en 1988. Le cinéma du Magnoac était lancé, toujours avec le Parvis qui organisait la programmation et quelques séances mémorables, telle celle de Tchao Pantin avec Coluche. La salle servait également pour les réunions du Comité Syndical, des AG, des spectacles et même la finale de foot 1998 ! Le temps passe : une nouvelle projectionniste, Chantal Valentin, le passage au numérique, l’organisation de séances Art et Essais, des séances en anglais, des séances scolaires et la salle qui vieillissait. En 2022, la salle a 35 ans : la moquette, les fauteuils et les revêtements muraux datent, le chauffage est obsolète et le bâtiment n’est pas aux normes de la RT 2012. La communauté de communes a donc décidé de rénover entièrement le bâtiment et à bénéficié de financement d’Etat au titre de la rénovation énergétique ; la salle de cinéma a été entièrement rénovée, quelques places ont été perdues pour réserver des places pour personnes à mobilité réduite et des fauteuils plus confortables ont été installés. La salle compte maintenant 180 places. Un nouveau projectionniste arrive, le programme est communiqué à l’affichage de la Maison du Magnoac et sur Facebook, l’affiche du film qui arrive est affichée à Cizos route de Monléon. Le coût total du projet s’est élevé à  269 919 € HT financés à 63.43 %.par les partenaires institutionnels (Etat Région Département). L’autofinancement est également facilité par le Centre National du Cinéma qui reverse, pour les projets de modernisation des salles, une taxe qu’elle prélève sur chaque billet vendu dans cette salle. Pour connaître le programme tel : 05 62 39 86 61 ou Page Facebook officielle « Cinéma Le Magnoac » Après la première séance à Caubous et après un premier anniversaire dignement fêté en 1984 avec le film Les Ripoux, du Punch et des gâteaux préparés par les bénévoles, nous célébrons fin novembre 2023 les 40 du cinéma du Magnoac !! On a tous une bonne raison d’aller au cinéma

La sécheresse de l'été et du 2ème semestre 2022 ont créé de nombreux désordres dans des bâtiments du village tant publics que privés, visibles notamment par des fissures y compris traversantes mais également par des affaissements. En effet, la nature des sols impacte les bâtiments par le phénomène de retrait/gonflement des sols argileux qui occasionne des mouvements différentiels de terrain.. La situation de fragilité de la commune a bien été identifiée puisque 2 arrêtés de catastrophe naturelle ont déjà été établis : le premier en mai 1997 pour les années 1994 à 1996 et le second en 2006 pour l'année 2003. Ces épisodes ont conduit à l'établissement des Plan de Prévention des Risques Naturels Prévisibles approuvé en 2010, suite à enquête publique en 2009, et résultant des différents textes règlementaires votés depuis 2003 sur la prévention des risques naturels, la modernisation de la sécurité civile et le renforcement de la protection de l'environnement. Ce plan précise notamment les conditions de constructibilité des nouveaux bâtiments. Le non respect de ces prescriptions dégage d'ailleurs les sociétés d'assurances de leur obligation d'indemnisation, y compris dans le cadre de reconnaissance de catastrophe naturelle sécheresse. C'est d'ailleurs pour cela que l'étude des sols établie pour le permis de construire de la grange Francingues a impliqué des fondations sécurisées à 1.20 m de profondeur. C'est dire que les maisons anciennes "posées sur le sol" ou avec des fondations d'une trentaine de centimètres sont particulièrement impactées. Une demande de reconnaissance de catastrophe naturelle a donc été déposée ; la commission a examiné le dossier en juillet 2023 et l’arrêté nous a été transmis en octobre 2022. Pour la commune, 3 constructions publiques sont concernées : la sacristie de l'église d'Espenan et le mur du cimetière d'Aries qui nécessitent la création d'un caisson de fondation et une consolidation. Pour la maison Francingues, les désordres sont plus légers, certaines fissures sont tout de même traversantes. Ce chantier (pose d'agraphes et rejointement) pourrait être réalisé en même temps que l'isolation par l'extérieur ce qui permettrait quelques économies par un échafaudage commun notamment. La visite de l'expert mandaté par notre assureur permettra d'identifier le reste à charge pour la commune.

On l'a vu dans un article de notre bulletin : notre population a bien changé en 100 ans. Le recensement de 1921 montrait que la population était essentiellement agricole, seules 3 personnes ne travaillaient alors pas dans ce secteur : l'instituteur, le curé et sa bonne. Aujourd'hui, même si l'agriculture modèle le paysage, les actifs agricoles ne sont pas les plus nombreux ; les retraités de tous secteurs sont très présents (enseignement, armée, bâtiment,administrations, ...), les métiers sont variés : infirmière, ambulancière, mécanicien, aide ménagère, commerçant, employés de collectivités ou d'administration, technicien de grandes entreprises, enseignant, nounou,... Certains habitants ont développé une nouvelle activité : * Damien et Camille Lepine du Camin de Pepe, ferme bio, après la création de leur point de vente à la ferme (farines, huiles, légumes,...) ont créé un fournil et sont devenus boulangers-paysans ; ils vendent un grande variété de pain tous les samedis. * Enzo Sanna du Moulin d'Ariès s'est installé pour proposer un large panel de pizzas au feu de bois (traditionnelles et plus originales) ; il est installé à l'entrée de sa maison tous les WE en été. * François Banquet, locataire de la villa communale au centre de la commune, a repris son activité de carreleur, qu'il a pratiqué de nombreuses années ; il peut également conduire différents travaux de réhabilitation. Nous leur souhaitons la réussite dans leurs entreprises.

Le dernier WE de juin débordant sur juillet, donc les 30 juin, 1er et 2 juillet, différents lieux du village résonneront de notes de musique et de voix de chanteurs. Il s'agit d'une première initiative qui vise à faire découvrir ou apprécier différentes sortes de musique : il faut qu'il y en ait pour tous les goûts ! Nous commencerons, vendredi à 18 h, à la fontaine, par l'audition des élèves de Romaric, professeur de musique habitant à l'ancienne école. Un duo Smoothy (Guitare, piano, voix) suivra cette présentation avec des reprises acoustiques. Entre les 2 un apéritif sera offert aux spectateurs pour fêter cette première. Ensuite, à la Grange des Fêtes, à 21 h, concert de Joy Askew, musicienne anglo-américaine, compositrice, pianiste, chanteuse, vivant à new York mais ayant une résidence secondaire dans le Magnoac, nous réjouira avec ses amis musiciens de des morceaux aux multiples influences et styles. A partir de 20 h 30, une buvette sera ouverte avec diverses boissons. Les personnes qui souhaiteraient grignoter entre les concerts à la Fontaine et à la Grange pourront commander une pizza du Moulin d'Ariès. Pendant l'entracte de Joe Askew crêpes, gaufres et gâteaux seront disponibles à la buvette. Le lendemain, samedi 1er juillet, concert de rock à la Grange avec les 4 musiciens énergiques de LKA. La buvette sera également ouverte avec grillades en sandwichs, frites et desserts. Le dimanche 2 est consacré aux voix. A 11 h, à l'église d'Espenan, la chorale des Drôles d'Oiseaux qui s'est produite avec des Chants du Monde à Noël 2022 à l'église d'Ariès. Ensuite à la Grange, la chorale les Ans Chantants de Monléon-Magnoac animera avec des chants pyrénéens, des adaptations et des variétés françaises, l'apéritif du repas des voisins réservé aux habitants du village. Il s'agit d'un repas où chacun porte son pique-nique et nous offrons l'apéritif et le café. Pour cette première édition les musiciens ont l’extrême gentillesse de ne pas demander de cachet mais acceptent de jouer "au chapeau". Cela veut dire que vous serez invités, si vous le souhaitez, à une participation libre. Nous espérons que ce premier week-end musical et festif vous réjouisse et nous rassemble et que nous pourrons proposer, en 2024, une édition encore améliorée.

Envie de voyager dans le passé ? L'un des trois gisements paléontologiques les plus célèbres au monde vous y invite. Direction Sansan, dans le Gers, où un sentier pédagogique livre les secrets d’un monde disparu… C'est une jolie ballade à faire en famille, avec des enfants curieux des dinosaures et autres mammifères de la préhistoire. Ils auront plaisir au début du parcours à tourner la manivelle d'une dynamo pour entendre les mots de bienvenue et d'explication d'une effigie d'Edouard Lartet. En suivant ses traces le long du SENTIER PALÉONTOLOGIQUE, à partir de l'église romane, vous apprendrez comment ce modeste avocat gersois, Edouard Lartet, découvre en 1834 un gisement paléontologique de premier plan qui a révolutionné les théories scientifiques en vigueur et mis en lumière la faune et la flore d’une époque lointaine, le miocène moyen (-16,5 à -14 millions d’années). Le site paléontologique de Sansan (lieu-dit au Campané) est un gisement de fossiles du Miocène. C’est un site inscrit à l’Inventaire national du Patrimoine Géologique (InPG) comme le plus important gisement continental du Tertiaire moyen, classé en août 1948. C’est l’un des gisements de niveau international les plus connus parmi les paléontologues. Un sentier préhistorique a été créé en 2018 par la Communauté de Communes Val de Gers sur le site. Le premier fossile a été découvert en 1834 par le berger Joseph Débats, qui vivait en haut de la colline : c’était une molaire de mastodonte. Joseph Débats alerta l’avocat gersois Édouard Lartet, qui se mit à fouiller le site. Édouard Lartet signale aussi en 1834 la présence d’un grand carnivore qu’il appellera Amphicyon major et d’un chalicothère, l’Anisodon grande. La plus marquante des découvertes de Lartet fut, en 1837, celle d’un Pliopithèque, un singe catarrhinien : ce fut une étape marquante du long et véhément débat entre les partisans du créationnisme qui soutenaient la véracité du livre de la Genèse comme récit historique, et les scientifiques qui, constatant la réalité de l’évolution en histoire naturelle, commençaient à formuler la théorie de l'évolution. Le mastodonte de Sansan, l’Archeobelodon, sera entièrement reconstitué en 1851 par Laurillard, ce qui sera une première en Europe. Fouillés par Édouard Lartet jusqu’en 1847, les quatre hectares de terrain ont été achetés en 1848 par le Muséum national d'histoire naturelle qui supervisa toutes les fouilles jusqu’en 1999 lorsque, le gisement étant épuisé, elles cessèrent. Parmi les fouilleurs les plus actifs on compte le paléontologue toulousain Henri Filhol, Francis Duranthon du Muséum de Toulouse et Pascal Tassy du Muséum de Paris qui sont les derniers à avoir fouillé Sansan et plus spécifiquement le flanc sud. Aujourd’hui les fouilles sont fermées, les affleurements ont été remblayés, la végétation a repris le dessus et un sentier paléontologique est ouvert en accès libre au public. Long de 2,5 km, jalonné de cartels explicatifs, le sentier permet d’apprendre comment Édouard Lartet a exhumé le contenu du site et comment ses découvertes ont révolutionné les théories scientifiques de l’époque et dévoilé une riche faune et flore. Durant le Miocène, le Gers connaissait un climat et une végétation de type tropical, favorisant l’expansion des faunes africaines, et notamment des Hominoidea dont le fameux Pliopithèque de Lartet. À la fin du Miocène, le climat devient semi-aride, les forêts tropicales laissent place à de vastes savanes où les graminées se diversifient7. Dans ce milieu, les mammifères foisonnaient : le site de Sansan a livré 85 espèces mammaliennes issues de 9 ordres, 30 familles et 75 genres, ce qui en fait l’un des sites les plus riches du Miocène en Europe. La création d'un petit Musée dans la bergerie initiale serait en projet. 15 millions d’années après…La reconstitution du squelette de l’anisodon grande est désormais installée sur le paléosite à quelque mètres seulement de l’endroit où il a été découvert en 1887 ! Il rejoint ainsi l’amphycion major et l’archéobelodon filholi déjà en place, et constitue le dernier de ces 3 reconstitutions en taille réelle sur site. DU 18 SEPTEMBRE AU 10 DÉCEMBRE Exposition sur Édouard LARTET aux Archives Départementales à Auch À l’occasion du 150e anniversaire de la mort d’Édouard Lartet, venez découvrir la vie et les découvertes de ce célèbre paléontologue gersois. Il est l’un des premiers à avoir démontré l’existence d’un homme préhistorique antédiluvien, dans un XIXe siècle qui pensait alors que l’Homme descendait d’Adam et Eve et que l’humanité, sauf Noé et sa famille, avait été noyée par le Déluge. À travers sa correspondance, conservée aux Archives départementales, et des objets prêtés par plusieurs institutions régionales et nationales, appréhendez le parcours hors du commun de cet avocat devenu paléontologue. Entrée gratuite.

La sécurité incendie est gérée par la Communautés de Communes par transfert de la compétence par les communes. Il y a plusieurs années la commune a sollicité la pose d'une réserve au centre du village et a prévu d'installer 2 autres réserves dans les 2 autres quartiers, compte-tenu des règles de distance requises par le Servie Départemental d'Incendie et de Secours (SDIS). La pose d'une citerne enterrée a été acceptée par la Communauté au titre de son programme 2022 et les travaux ont été réalisés début juin après que la Communauté ait lancé un marché public pour 3 villages. l'entreprise Pomes-Darré a été retenue et a conduit un impressionnant chantier ; les photos ci-dessous en témoignent. 70 m3 de terre pelletée sur le pré de la fontaine ont créé un nouveau relief : une montagne ! Après 2 jours de travaux, la place a retrouvé son calme mais perdu sa pelouse, le sol étant maintenant parsemé de galets remontés du sous-sol. Les plus gros ont permis de constituer un pied de talus le long du futur stationnement des camions-Pompiers. Quelques bénévoles on pu aider à l'enlèvement de ces galets pour constituer des limites de plate-bandes et à la plantation de millepertuis rampants. Reste à installer le compteur d'eau et le bec d'aspiration.

Ayant priorisé depuis plusieurs mandats les investissements routiers, les investissements locatifs et les travaux sur les églises, la commune ne dispose d'aucun endroit fonctionnel de stockage : aussi les équipements et matériels sont stockés dans différents endroits du village (sous le clocher, à l'estrade de la grange des Fêtes, dans l'appentis du corbillard et dans la salle de réunion). Panneaux électoraux, éclairage de Noël, panneaux de signalisation, matériel de jardin, bâche et flotteurs de la piscine, déco de Pâques et de Noël sont donc disséminés, ce qui est tout sauf fonctionnel. Dans le même temps, les parties communes et les placards du bâtiment Francingues se sont trouvés encombrés d'affaires des 4 locataires (vélos, poussette, petit mobilier et linge inutilisé). Le Conseil a donc décidé de construire sur le terrain mitoyen un bâtiment qui serait utile à la commune et aux locataires voisins. Après que le Conseil d'Architecture d'Urbanisme et d'Environnement ait dressé un croquis d'une grange qui s'intègrerait dans le paysage, l'architecte Christophe Bouas de Trie sur Baïse a proposé une grange qui intégrerait des abris pour voiture et des celliers ainsi que, proche de la route, le futur atelier communal. De l'autre côté plein est, une réserve est prévue pour y aménager ultérieurement un nouveau logement. Le chantier devrait durer jusqu'au mois d'août. Des photos seront rajoutées au fur et à mesure du chantier.

Le don d'une table de ping-pong endommagée mais dont la structure en béton était encore solide a pu être restaurée par des bénévoles du village animés par Patrick Lefèvre et Daniel Jacquier. Après récupération, démontée, ses fissures ont été agrandies, colmatées, poncées ; le plateau et le filet ont été refaits et remontés. Il ne reste plus qu'à peindre avec un revêtement spécial. Mais, la table située à l'entée de la piscine fait déjà la joie des premiers joueurs !

L'Assemblée des jeunes avait décidé de s'impliquer dans la sensibilisation au tri. Ils sont convenus de réaliser des affichettes à apposer sur les containers de collecte de déchets avec un graphisme original et des slogans spécifiques. Ludmilla a réalisé le dessin du "container triste et dégouté suite à une indigestion" et Louane et Théo ont réalisé, plastifié et apposé les affichettes.

Normalement notre SIVOM des déchets prévoit en fonction de la population un espace Tri par commune. Nous avons pu faire valoir l'écart entre les 2 sections de la commune et l'augmentation significative des usagerspendant la période d'ouverture du camping. un ensemble de 3 colonnes de tri a donc été installé près du terrain de tennis. La collecte des recyclables est organisée le mercredi : 2 fois par mois pour les emballages, et 1 fois par mois pour le papier et le verre.

La sécheresse de l'an dernier a occasionné de nombreux soucis : pour les agriculteurs et leurs cultures, pour les jardins, pour les maisons (à cause des phénomènes de retrait/gonflement des argiles -article séparé) et pour notre fontaine. l'eau s'est raréfiée et les limons en s'asséchant ont créé un bouchon dans la canalisation entre le cuvier et la fontaine. Il a fallu nettoyer le cuvier à coté de la source dans les bois, nettoyer la rigole et mettre en pression pour déboucher. L'intervention a été réalisée par Michel Loubefosse aidé de Jean-Luc Et l'eau est enfin revenue au centre du village !

Le Cinéma du Magnoac au Claret accueille dans 10 jours un festival des Grans classiques du cinéma britannique. 8 films ont été sélectionnés pour le plaisir des sujets de sa Majesté qui habitent le secteur, mais aussi pour les cinéphiles qui fréquentent notre salle depuis de nombreuses années ou les amateurs qui aimeront passer un moment de divertissement autour d'un bon film et d'un moment convivial. En effet, "tea time" , "brunch", ou "auberge espagnole" rythmeront les séances (voir le programme ci dessous)

Lors de leur dernière réunion, les Jeunes ont décidé de s'impliquer dans l'accompagnement de cette manifestation organisée par l'Association Avélot de Castelnau et Sapaudia dia qui milite pour le don de moelle osseuse, en animation préparatoire au passage du Tour de France le 22 juillet. Finalement Louane et Ludmillia ont pu se rendre disponibles pour préparer la déco du carrefour de la route de Devèze et de la Route des Moulins : un clin d’œil au Tour de France et à ses supporters le long des routes ! Levés tôt, nous avons installés avec Kévin les fanions, le vélo, la cycliste, le ballon Cochonou ... et les chaises de Dominique et le casse-croute comme les vrais fans ! et à 6, nous avons acclamé les cyclistes par 2, 3 ou en bande. Jusqu'au passage de la voiture balai, après laquelle nous avons démonté et dit au revoir à "Stéphanie" que les filles ont baptisé ainsi. Les grands sourires et des bonjours nous ont réjoui !

Salle des Fêtes de Castelnau-Magnoac S’est tenue de 10 à 18 h tous les jours jusqu'au 20 mai puis Trie sur Baïse (dates à venir) voir PDF dans infos Municipales De temps immémorial, l’homme a construit avec ce qu’il avait directement sous la main : de la terre et, aujourd’hui encore, un tiers de l’humanité vit dans des habitats de terre crue. Il en est de même en Europe et, bien sûr en France mais pas partout, dans certaines régions seulement dont le Sud-Ouest et, dans le Sud-Ouest, notre contrée Gers-Hautes Pyrénées est très concernée : l’adobe, le pisé et le torchis y sont les techniques architecturales les plus fréquemment rencontrées. Dans certaines régions de France, là où il existe sur place en quantité, le galet est parfois ajouté à titre décoratif, en bandeaux. Mais il y a une technique qui n’existe que dans une micro-région, aux confins de l’Astarac et du Magnoac : c’est l’architecture en damiers mêlant pavés de terre crue et galets descendus des Pyrénées, aussi disponibles sur place que la terre à bâtir. L’aspect en est très esthétique et spectaculaire. C'est en fait, une curiosité unique au monde ! Depuis la nuit des temps, la terre crue est le principal matériau de construction de l’espèce humaine et de bien d’autres espèces. De la hutte en terre des premières sociétés aux temples indiens et aux ensembles de villes maliennes, cette substance multiforme a abrité des millions de personnes sur tous les continents. Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 150 sites du patrimoine mondial de l’UNESCO qui sont entièrement ou partiellement construits en terre crue. Jusqu’en 2017, le projet “WHEAP” (Programme du patrimoine mondial pour l’architecture de terre) s’est occupé de relever et de catégoriser ses constructions emblématiques. Au final, il ressort que près de la moitié de l’humanité réside actuellement dans un habitat composé, au moins en partie, de terre crue. Au mois de mars dernier, la Dépêche du Midi a fait un appel aux témoignages dans nos colonnes et les nombreuses réponses des lecteurs ont bien porté leurs fruits puisque les photos reçues ont permis de réaliser une collection de documents. Les résultats de cette enquête de terrain seront présentés lors des journées européennes du Patrimoine, les samedi 15 et le dimanche 16 septembre, à Saint-Michel, dans le Gers. Il y aura une exposition inédite dans la chapelle Saint-Jaymes, entre 9 heures et 18 heures, avec des conférences chaque jour à 16 heures, suivies d'un petit rallye pour voir les murs en damier qui se trouvent sur cinq sites à faible distance. E entre temps auront lieu, fin juin, à Seissan les "assises de la terre crue en Occitanie", organisées par les Délégations Gers et Hautes-Pyrénées du réseau des Maisons Paysannes de France Ci-dessous des photos en Magnoac-Astarac dont le Manoir de Garaison et un pignon de Kasbah, la grande Muraille et une ferme en Chine, des Cases Obus et la mosquée de Tombouctou au Cameroun et les "grattes-ciel" de Shibam au Yémen

La limite de la partie agglomérée du village a été avancée et les panneaux d'entrée et de sortie sont en cours d'implantation. Dans ce secteur, un Stop est prévu quand on vient de la route des Moulins. Sur Espenan, un Sens Interdit sauf riverains est prévu pour la route d'Espagnoulet. La Direction des Routes des Hautes-Pyrénées a posé pour une quinzaine de jours environ 2 radars pédagogiques et un système de comptage.

Conformément à une décision ancienne de la Mairie, à l’étude-diagnostic conduite par Étienne Lavigne, architecte du patrimoine (ancien du Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et d’Environnement des Hautes-Pyrénées qui nous avait assisté dans le passé pour plusieurs opérations) et au programme du Conseil pour le mandat, nous poursuivons la rénovation de nos deux églises. Vu l’importance des travaux, nous réalisons par tranches successives. Sont achevés : La réfection des toitures, pose de gouttières, suppression de trottoir béton et pose de drain pour assainissement des murs anciens Le remplacement d’enduits traditionnels ciment qui laissaient remonter le salpêtre par des enduits à la chaux hydraulique L’achat de bancs et la rénovation de chaises-prie-Dieu L’électrification des cloches La pose à l’identique de la porte d’entrée de La Chapelle St Laurent à Espenan La réfection du plafond et du plancher du cœur à Espenan L’aménagement des 2 cimetières (Elagage, dépositoire, ossuaire et columbarium) Cette année seront réalisés : Une 1ère tranche des enduits d’Espenan La voûte de l’Assomption d’Aries (plâtrerie, électricité, peinture) Allées des cimetières (goudronnage coloré et bordures de pavés) Resteront ensuite : Achèvement des enduits extérieurs et enduits intérieurs Réhabilitation des statues

Evènement en Magnoac le 22 juillet : la étape du Tour démarrera de la Place de Castelnau-Magnoac La société du Tour demande aux villes participantes d'organiser des animations en amont tout d'abord "une Dictée du Tour" qui a été organisée pour tous les CM2 des écoles du Canton. Les 8 gagnants seront invités au village du Tour. Une journée vélo le 28 mai sera la 2ème animation, pour les grands et les petits, avec un itinéraire du magnoac de 80 kilomètres, une boucle plus courte et balade à vélo autour du lac pour les enfants. le challenge Kiki Sabarros nous rapelle l'ancien secrétaire de mairie de Castelnau, passionné de vélo et du Tour de France, collectionneur de maillots, qui sillonnait nos petites routes et qui avait eu la joie en 2005 de voir le Tour traverser la commune où une collation traditionnelle avait été offerte aux officiels Christan Prudhomme en tête, accompagné de José Alvarez d'Auch, constructeur des vélos de Bernard Hinault.

Une Opération programmée d'amélioration de l'habitat (OPAH) est, en France, une convention passée entre une collectivité (commune ou un EPCI), l’État et l’Agence nationale de l'habitat (Anah) en vue de requalifier et de réhabiliter un quartier bâti. Un OPAH agit donc sur un territoire limité (commune ou EPCI). Le but d’une OPAH est de créer des conditions plus favorables pouvant inciter des investisseurs, mono-propriétaires ou copropriétaires, à investir dans l’amélioration ou la réfection de logements existants dans un périmètre précis. Une OPAH se déroule en trois phases : 1. une phase de diagnostic qui recense les dysfonctionnements du quartier ou des immeubles du périmètre choisi : problèmes urbains, fonciers, sociaux, état du bâti, conditions de vie des habitants etc. 2. Une "étude pré-opérationnelle" qui préconise les solutions à apporter aux dysfonctionnements soulevés lors du diagnostic et qui définit les objectifs qualitatifs et quantitatifs à mettre en œuvre pendant la phase 3. 3. Enfin, l'OPAH proprement dite, est instaurée pour une durée déterminée, généralement comprise entre trois et cinq ans, pendant laquelle des aides financières sont accordées par l’État (Anah), le Conseil régional, le Conseil départemental, les EPCI et/ou la commune. Cette mission de « suivi-animation » est confiée à un opérateur externe chargé de la mise en œuvre et du bon déroulement de l’opération. L'OPAH du Pays des Coteaux se déroulera jusqu'à 2026 ; il s'agit d'une procédure connue dans le secteur puisque'il y a a eu déjà 2 sue le territoire plus petit du Magnoac dès les années 90 avec pour notre village, outre les aides aux propriétaires occupants, la création de 4 logements locatifs par 2 propriétaires privés. Information gratuite et sans engagement par l’équipe d’animation lors des permanences mensuelles de 9h à 11h :  1er mardi à la Mairie de Castelnau-Magnoac  2ème mardi à la Mairie de Pouyastruc  3ème mardi à la Maison France Service de Trie-sur-Baïse  4ème mardi à la CC du Val d’Arros de Tournay